Thursday, October 21, 2010

Raha toa moa ka … zavamaneno misy tadiny.

Fanontaniana : milazà zava-maneno misy tadiny anankiray.

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Valiny : Akoholahy mifatotra.

(Tantara marina)

(Illustration : Cosio Galko’s sunburst guitar collection, licensed cc-by 3.0)

Wednesday, October 20, 2010

Raha toa moa ka … hitako ny blaogin’i za

Tapaka ny internet teto amiko omaly tontolo, olana teo anivon’i Blueline Madagascar. Fombako moa, rehefa tapaka toy io ny internet, ny mijery ny routeur aloha (192.168.1.1) hoe mandeha ve ny tambajotra anatiny, avy eo aho mijery ny blueline.mg, hahitako hoe mandeha ve ny fifandraisana samy eto Madagasikara, dia mba mijerijery ireo sehatra malagasy (moov.mg, orange.mg) ihany koa, ary farany raha mbola mahazo ireo dia mijery sehatra vahiny sasantsasany.

Omaly ary dia tsy mahita an’i moov.mg sy ny sehatra avy aty andafy aho, fa mandeha tsara kosa ny blueline.mg sy ny orange.mg.

Sehatr’i blueline moa tsy misy na inona na inona hojerena fa tsy misy miova. Ahitanao soratra toy ny hoe “L’offre sera disponible courant septembre 2010.” Dia tao amin’ny sehatr’i orange.mg mba nitady hanalanalana azy tao mandra-piandry izay ho fiverenan’ny internet. Rehefa voavaky ny vaovao tao, dia izay vao nahita fa hay moa misy blaogy ihany koa ao amin’i orange. Izaho moa tsy dia fanina @ orange ka tsy mba maharaka, puce orange aza iniako tsy ananana mantsy, nefa ilay foza double pince aza mihaolina ny puce iray aminy izao.

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Illustration: RSS Logo Drawn in the sand, de Gilberto Stankiewicz, licence cc-by.

Nisy blaogy anankiray nahafinaritra ahy tao, dia ny blaogin’i za. Tapitra voavakiko ny lahatsoratra rehetra navoakany hatrizay nisiany. Saingy INDRISY mantsy ry Orange fa kankana be loatra ilay plate-forme de blog arosonareo ho an’ny olona. Aiza ve ka amin’izao andron’ny fahamarinana sy fahamasinana izao (oadray, azafady, hay moa efa tsy eo Dada), dia blaogy tsy misy fahana RSS no atolotrareo? Mba tena maniry hanaraka ireny blaogy tsara ireny aho saingy tsy mety amiko kosa aloha raha blog tsy misy RSS. Noho izany dia ireto 2 ireto no fehin-kevitra :

1) Aleo rehefa misy fahatapahana indray ny internet mamaky izay ho voasoratry ny tompon’ny blaogy manomboka izao hatramin’izay andro izay.

2) Hotolorana hevitra ny mpiblaogy ao amin’ny orange.mg mba hiova handeha any @ wordpress.com ohatra, na any amin’ny blaogy.com.

Ity no anisan’ny tiako indrindra tamin’izay novakiako : Différence de langue

Monday, October 18, 2010

William et Catherine.

Tu me manques, Catherine.

Je ressens encore ton odeur quand je m’endors seul sur ce lit, froid. Il est trop grand sans toi. Je me souviens des moindres détails de tes manies. Comme quand tu me caresses la tête alors que tu me tournes le dos. Je ressens assez souvent la saveur de ta langue dans ma bouche.

Tu me manques, Catherine.

Ta façon de tenir mes deux joues à quelques secondes d’atteindre le point culminant du plaisir, tu es la seule à faire comme ça, tu sais. Maintenant que tu n’es plus là, aucun plaisir ne me donne envie…

Tu me manques, Catherine.

Je n’ai pas ri un seul instant depuis que tu es partie. Tes blagues me manquent, certaines sont débiles, certaines me rendent mort de rire, certaines ne sont pas assez amusantes, mais je les aime toutes. Et je t’aime. A chaque fois que je vois un cortège, je me rappelle de notre mariage, quand tu as écrit sur le vitre arrière de notre limousine les lettres WC, pour William et Catherine, juste pour m’embêter.

Tu me manques, Catherine, je ne suis plus le même Willy depuis que tu n’es plus là.

Tu es la seule qui puisse me comprendre, et tolérer mon tempérament. Tu es la seule qui sache à quel moment je commence à être hors de moi, et à chaque fois, tu arrives à me calmer au moment qu’il faut. Maintenant que tu n’est plus là, je n’arrive plus à vivre. Je me sens trop seul dans un monde de fous.

Pourquoi les gens doivent-ils mourir un jour? Pourquoi certains meurent jeunes? Pourquoi avions-nous disputé dans le garage, ce jour-là? Pourquoi j’avais un tournevis dans ma main à ce moment précis où tout a basculé?

Tu sais, Catherine, planter ce tournevis dans ton oeil gauche était un geste machinal causé par la colère et notre dispute. Je ne voulais pas du tout te faire du mal, et étant hors de moi, je ne mesurais pas la portée ni la conséquence de mes actes. Et puis, écraser ta tête avec cet enclume était tout ce que je trouvais sur le moment pour achever tes souffrances. Pourquoi ne peut-on pas retourner en arrière comme dans les jeux et fictions? Un retour arrière de 15 secondes aurait suffi.

Tu me manques.

Reposes en paix ma chère.
William, Ton mari.

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(L’illustration est placée dans le domaine public)